Voila. Une nouvelle vie, une nouvelle maison, une nouvelle vie. lilly aurait du etre contente non?La plupart des jeunes revaient de rentrer à l'université pour gagner leur indépendance. pas lilly. Elle avait toujours était indépendante. Quant-aux changeamnts et aux déménagements, ils avaient toujours rythmés sa vie, lilly changeant de ville environ chaque année , voire plus souvent. Les familles et les foyers d'acceuil, elle connaissait. Ils avaient marqué toute sa vie. Mais quel que soit la ville ou elle se trouvait , c'était toujours pareil.
Elle avait attendu ses 18 ans avec impatience, pour pouvoir enfin sortir du système des foyer et pouvoir enfin vivre sa vie un peu tranquilement. Elle en avait marre d'etre un " cas social". Elle voulait enfin etre un peu comme les autres. Mais parfois, lorsque les gardes à vues ont toujours marqué votre enfance, et que votre casier judiciaire est déjà bien rempli, il est parfois dur de reprendre une vie "comme les autres".
C'est tout du moins ce que lilly espérait. mais dans un accès d'optimisme qui lui était plutot étranger, elle se surpris à penser que peut-etre, ici, à la fac, sa vie serait un peu moins misérable.
Elle s'assit sur un banc, dans le hall, attendant, l'heure d'aller à l'administration pour aller remplir les papiers, voir sa classe.... lilly étaent arrivée en cour d'année, les autres se connaissaient déjà pour la plupart mais cela ne la dérangeait pas vraiment. Elle avait en général de plutot bon contacts avec les , surtout les graçons.
Le foot l'aidait beaucoup.
Elle avait été prise dans la section foot. Le jour ou elle l'avait appris, elle avait vraiment été heureuse. Non que son avenir ai vraiment d'importance pour elle, mais le foot avait toujours été toute sa vie et ne se voyait pas faire autre chose ( de légal tout du moins) pour gagner sa vie.
Elle sortit son i-pod et écouta d'un air distrait les chanson de ses groupes de rock préféré, regardant les autres élèves, ses "futurs camarades" d'un air distrait. S'adapter ne lui posait généralement pas de problème, elle avait tant de fois déménagé, le plus souvent en cour d'année, qu'elle en avait maintenant complètement l'habitude; Et puis, elle gagnait rapidement la sympathie des autres...
C'est alors qu'elle vit que quelqu'un la regardait plus fixement. Elle plongea un regard pénétrant vers la personne, qui au bout d'un moment, fini par s'approcher d'elle.