FICHE PRESENTATION PERSONNAGE
Nom : Mackenzie
Prénom : Beth
Age : 20 ans
Date De Naissance : La jolie Beth naquit le 5 janvier 1987.
Groupe d'Eleve choisi : Elèves normaux
Logement choisi + numero du logement : Appartement 4.03
Matière principale : Stylisme
Quelle année d'etude : 2ème année
Personnage de l'avatar : Sophia Bush
Famille : Elle n'est pas proche de sa famille... En vérité, ils l'insupportent tous, à part sa mère, et sa soeur jumelle.. SOn père, est un de ces hommes super connu, blindé de tunes, qui se croit mieux que tout le monde et surtout d'elle sa fille. Elle a toujours du tenir une compétition malsaine avec lui. Dès toute petite elle était deja comparé à lui, mes grands parents qui sans le vouloir lui mettaient la pression, et puis son père lui même, qui adorait la rabaisser en lui disant que de toute façon, jamais elle ne l'égalerai, elle resterai toujours un cancre, une idiote finie qui pleurera indéfinniment dans les jupes de sa mère... Elle en a eu vite marre de se battre contre du vent et elle a fini par lui donner raison.. Elle travaille en classe, mais le minimum, elle a un cerveau, elle n'a pas besoin de relire ses notes.. Elle est trop occupée à secouer les pompoms comme dit son père. D'ailleurs , il a honte du statut de sa fille , ce dont elle est fière !
Caractère : En fonction des années et des périodes le caractère de Beth se modifia énormément. La plupart des personnes changent, certes, mais pas autant qu’elle.
Petite, Beth était plutôt du genre sage. Elle était calme, sage, appliquée, sérieuse et rusée. Pour obtenir l’attention de ses parents, elle se conduisait en parfaite petite fille adulée de tous. Bien que ses efforts ne firent rien par rapport à sa relation avec Hugues et Kati. A l’école, elle ramenait d’excellentes notes grâce à sa conduite et son travail. Enfant, tout allait bien pour elle.
Puis vînt l’adolescence. Ce fut la que son caractère changea énormément. La petite fille modèle devînt une vraie… gosse de riche. Elle fut vite intéressée par le luxe et la désinvolture. Tout ce qui était interdit l’attirait et elle passait ses soirées en compagnie de garçons. De nature assez lunatique, on ne savait jamais à quoi s’attendre de sa part et les gens ne savaient pas tellement comment réagir avec elle. Elle était intimidante et la coqueluche du lycée. Rusée et intelligente, elle savait mettre au point des stratégies afin d’être encore plus intimidante. Cela relevait un caractère assez calculateur et manipulateur. Pour les autres, elle n’avait aucun scrupule et fesait circuler les pires rumeurs sur les personnes qui l’énervaient. Sociable, elle aimait avoir des contacts avec les personnes. La solitude n’était pas pour elle comme la fainéantise et le calme. Elle était turbulente et toujours active. Beth devait toujours faire quelque chose : sortir, appeler ses amies… une fêtarde en gros et puis, comme ci cela ne suffisait pas, elle changea une nouvelle fois de caractère. Mais cette fois ci en mieux. En effet, elle se calma. Tous les excès qui contrôlaient sa vie furent diminués. Elle devînt étrangement plus responsable. Qui l’aurait cru ? Elle sait à présent se modérer, se contrôler. Elle fête moins, boit moins, fume moins… que de bonnes résolutions. Son côté manipulateur s’effaça peu à peu ainsi que son côté calculateur. Par contre elle resta toujours aussi rusée. Mais sa ruse, elle ne l’utilise pas à présent pour faire du mal autour d’elle ou pour se rendre intimidante, mais plutôt pour se sortir des pétrins quand elle a des problèmes. Et puis, au fil du temps, elle donna naissance à d’autres traits de caractère. La cruelle Beth devînt sensible. Une vraie fleur bleue à qui on ne doit pas faire mal. Car derrière ses airs sur d’elles et son attitude quelques fois arrogante envers certaine personne, elle est assez sentimentale. Comme toutes les filles, je pense. Et puis, une fois adulte, elle arrêta de se fier aux préjugés, même si parfois elle les croit toujours. Elle a beaucoup mûri, devenant une vraie femme sachant que dans la vie il y a des décisions à prendre, des responsabilités à avoir. Par contre, certains traits de son caractère la suivirent toute sa jeunesse : sa curiosité, son entrain, son sourire, sa sociabilité, son envie d’être toujours la meilleure et son esprit de compétition, son perfectionnisme, sa susceptibilité et sa joie de vivre. Petite Beth a bien grandie, mais je ne dis pas qu’elle est aujourd’hui un ange.
Physique et Style Vestimentaire : Belle, élégante, fine, gracieuse et élancée. Avec une maman mannequin, on hérite obligatoirement d’un corps à en faire pâlir toutes les jeunes femmes de cette planète. Un corps naturellement fin et une silhouette élancée digne d’un grand top model. Du haut de ses un mètre soixante dix, ses longues et fines jambes lui donnent un effet de grandeur. Les personnes de son entourage lui donneraient cinq centimètres de plus. Son ventre est plat et légèrement musclé à la fois, et son poids reste stable. Elle ne ressemble pas à ces mannequins anorexiques n’ayant que la peau sur les os. Elle a des formes : de la poitrine, des fesses, des hanches. C’est vraiment une très belle femme.
Son visage, c’est également le portrait de sa mère. De toute façon, son corps est pratiquement identique à celui de sa mère à part ses yeux. Nous en parlerons plus tard dans la description. Un visage assez carré, mais très photogénique. Un visage entouré de magnifiques cheveux bruns, ondulés et d’une finesse incroyable. Elle change souvent de coupe d’ailleurs et en ce moment elle opte pour de longs cheveux et une franche assez tendance… Bref, son visage comporte également un sourire angélique s’alliant parfaitement à la blondeur de ses cheveux. On la prendrait presque pour un ange tombé des cieux. Mais cet ange à plutôt un caractère de démon. Enfin, là n’est pas le problème. Quant à ses yeux, son regard est assez étrange. Mêlant malice et mystère, ses yeux marrons sont l’héritage de son père. Des yeux en amende, entourés de longs cils. Pas besoin de mascara, ils sont courbés naturellement. Son nez fin et droit est par contre son défaut? Pourquoi, étrangement la belle trouve son petit nez mignon trop droit, trop pointu, trop allongé. Chacun ses complexes n’est-ce pas?
Au niveau style, Beth reste simple. Pas trop de maquillage, elle ne veut surtout pas ressembler à un pot de peinture et frôlée la vulgarité. Quant à ses habits, elle aime suivre la mode, mais pas à la lettre. Quand un accessoire ou un vêtement lui plaît, elle l’achète. Mais si trop de personnes l’ont, elle le personnalise. Elle ne veut pas être le sosie de toutes ces filles que l’ont croise dans la rue.
Histoire : Assise sur le fauteuil en cuir du bureau de papa, cigarette à la main, Beth feuilletait un livre vert sur lequel était écrit, en lettres dorées, ALBUM PHOTOS. Elle ne le feuilletait que très rarement, mais si vous voulez en savoir plu sur la vie de la jolie brune, il le faut bien.
Première page. En haut de celle-ci est écrit : BEBE. La première photo est celle d’une petite fille venant à peine de naître, les yeux clos, habillées avec une combinaison rose bonbon. Cette petite fille, Beth Ella Rose Mackenzie. Ella et Rose sont les prénoms de ses deux grand-mères et Beth était le prénom que ses parents avaient choisi. Sur cette première photo, rien de bien intéressant. Juste un bébé endormi. Deuxième photo, déjà plus intéressante. Nous retrouvons ce bébé dans les bras d’une charmante femme, tout à fait sublime. Classe et fière à la fois. Une jeune femme que caractérisaient de longues jambes fines et un sourire angélique. Mais certaines choses sont impossible à voir à travers une photo : sa dépendance à l’alcool par exemple. En apparence, cette jeune mannequin, semblait être une femme heureuse et épanoui entourée de son bébé et de son mari, Hugues Mackenzie. Un homme ayant fait fortune grâce à une chaîne de restaurants de luxe. Mais en réalité, elle aurait préférée une autre vie. Pour cet homme, elle avait tout abandonnée. Sa carrière de mannequin, son pays natal qu’était l’Angleterre, sa famille, ses amis, pour aller s’installer dans une immense villa située à New York. Le bonheur pour certains. Des millions de personnes rêverait de baigner dans le luxe et le superflu, mais au final, qu’est ce le bonheur? Le bonheur n’est qu’une image que l’on renvoit de nous, une belle image que nos voisins nous envient. Quant les voisins examinaient la famille Mackenzie, ils étaient jaloux. Un très bel homme marié avec une magnifique mannequin et ayant eu une sublime petite fille. Mais si ces voisins là auraient pu voir la vie de cette famille de plus près, ils auraient vu à quel point le couple était instable. Un très bel homme ayant plusieurs maîtresses, une sublime mannequin oubliant ses malheurs quotidiens avec la vodka et une sublime petite fille qui allait grandir entre les infidélités de papa et les bouteilles de maman mais également avec le compte en banque de papa et la beauté de maman.
Revenons à notre ALBUM PHOTOS. Troisième photo. Toute la famille réuni avec le bébé au milieu. Des gens de haute société tous habillés en marque : Chanel par ci, Dior par là. Avec des sourires tout à fait hypocrite. Des gens qui sur certaines photos se lançaient des regards noirs, comme on pouvait le remarquer sur les photos quatre à huit. Voilà la présentation de la famille de Beth. Adorable tout ça? N’est-ce pas?
Sautons maintenant quelques pages. Plus besoin de s’attarder sur ces stupides photos de bébé. Vous connaissez déjà la famille. Passons à sa petite enfance. Eh là, bizarre, qu’une seule photo. Une photo où posait Beth Ella Rose avec une petite robe à cerises et un serre-tête rouge. Elle devait avoir quatre- cinq ans. Elle souriait, avec au fond l’océan. Avec cette unique photo, vous pourriez penser que c’était ses parents qui la prenaient, et bien non. L’auteur de cette photo n’était qu’un ami de ses parents chez qui Beth allait souvent dormir. Un homme avec le crâne dégarni et des yeux bleus hivernaux. Elle aimait allez chez lui, surtout que c’était un des rares moments où elle s’amusait avec le fils de cet homme : Zac Bolton. Celui-ci n’apparaît sur aucune photo d’ailleurs. Mais que fesais ses parents, vous dites vous ? Eh bien, pas grand-chose. Mr. Mackzenzie sûrement avec la maîtresse du jour et Kati sûrement entrain de fumer et boire tout en se dorant la pillule. Avec seulement cette photo, on ne peut rien dire sur la petite enfance de Beth. Elle était bien trop petite pour qu’elle s’en rappelle à vingt ans. Alors on va sauter ce petit chapitre, sans grande importance, pour aller jusqu’à l’enfance.
Quelques pages tournées après, nous retrouvons des photos de Tiffany, encore et toujours. Beth habillée en clown pour mardi gras, Jenny avec son nouveau vélo ayant coûté les yeux de la tête qu’elle avait reçu à Noël, Beth en vacances avec son petit maillot de bain ravissant, mais chère, au beau milieu du sable chaud. Mais de magnifiques photos prises rarement par ses parents. Toujours monstrueusement occupé à faire tout autre activité. Pas besoin de vous le précisez, la jolie blonde se sentait seule. Ses parents ne se fichaient pas d’elle, non car il lui offrait tout pensant que l’amour pouvait s’acheter, mais ils ne s’intéressaient pas à elle. Pauvre petite. Pour attirer leur attention, elle se souvient, qu’elle fesait de gros efforts. A l’école par exemple, elle travaillait sans s’arrêter devenant la première de la classe. Mais pour ma féliciter, ils lui offraient une télé mais pas une petite télé. Une énorme. Mais elle ne recevait pas de bisous, pas de câlins, pas de sourires. Rien de rien. Alors que tout le monde s’extasiait face à ses notes, Hugues et Kati restaient de marbre. Son enfance se passa ainsi, seule avec comme seul ami Zac Bolton. Puis elle grandie arrivant, trois pages après, à l’adolescence.
Adolescence, Adolescence. Cette période n’est pas si facile. Pour n’importe quel adolescent, c’est une période remplie de contraintes. Il faut avoir des responsabilités mais on a toujours nos parents derrières nous pour nous interdir de sortir et nous donner des ordres. Mais Beth n’est pas n’importe quel adolescent. Et ses parents ne sont pas du genre à lui donner des ordres.
Au fil des années, Beth avait bien comprit que ce n’était pas en jouant les fifilles à papa, qu’elle aurait l’attention de ses parents. Alors elle changea. Elle devînt plus « rebelle », moins sérieuse et travailleuse. Elle commença à traîner avec des personnes dites « non fréquentables » comme vous pourriez le voir à la page onze, sur une des photos où posait Beth ainsi que des amis, bouteilles d’alcools à la min pour certains, pétards et cigarettes dans la main pour les autres. Celui qui prenait la photo n’était d’autre que… Zac. Il devînt son double masculin. Bref, elle fumait, buvait, sortait tous les soirs et ne revenait parfois que deux ou trois jours après, sans ne jamais donner de nouvelles. Ses parents commencèrent seulement à s’inquiétez de l’était de leur fille. Comment avait-elle fait pour changer autant ?
Sur une autre photo, et c’est sûrement la seule, posait Zac et Beth s’embrassant. Vous aurez très vite devinez qu’ils se mirent ensemble devenant un couple très… « Infréquentables ». Ils s’abandonnaient à tous les petits plaisirs de la vie, ils buvaient de la vodka et fumaient des malboro light –pour se donner bonne conscience- sans modération. Les boîtes de nuit étaient habituées à les voir, toujours collés. Ce fut lorsque que Zac et Beth eurent un accident de voiture qui failli leur coûter la vie, que ses parents prirent des mesures. La jolie brune avait alors 16 ans et par miracle, elle et son petit ami étaient intacts. D’ailleurs sur l’une des photos, on voit miss. Mackenzie, un pansement autour de la tête. Dès lors, Kati et Hugues se demandèrent ce qu’ils pouvaient faire pour sortir leur fille de ce cercle vicieux qu’était la jeunesse dorée dont elle était un membre active. Hugues ne comptait rien faire en fait, il se disait que ce n’était pas important, mais Kati, elle, s’inquiétait. Elle pensait que si sa fille arrêtait de fréquenter ce Zac, peut-être qu’elle redeviendrait normale. Mais elle n’eut rien à aire, le destin se chargea de séparer les deux jeunes gens. Le père de Zac du partir et Beth, lui qui n’avait jamais été vraiment amoureux, se rendit compte qu’il était fou de Beth. Mais il ne le su que lorsqu’il du partir.
Eh voilà, elle se retrouva seule, seule dans cette grande ville qu’était la Californie. Seule avec son père toujours aussi absent et sa mère qui essayait tant bien que mal de s’intéresser à sa fille. Honnêtement? Elle pouvait rester avec ses bouteilles car ce que voulait Beth s’était de rester seule. Puis, pour faire passer le temps, elle s’intéressa à la danse, puis devint pom-pom girl. Et voilà sa vie, voilà Beth…