Serena Woodsen -qui?- xD

Nom : Woodsen [ qui a dit Gossip Addicted? xD]
Prénom : Serena :8
Âge : 19 petites ravissantes années
Date de naissance : 24 Septembre 1988
Personnage de l’avatar : Mlle. Jessica Alba


Groupe d’élève choisis : Thêta
Logement choisis : Chambre double (plus amusant nan? >.< )
Étude : Arts
Matière Principale : Littérature
Année d’étude : Première année – faut bien un début à tout-
Relation avec Tara Biggs : Une simple connaissance. Elles ont tout deux vaguement discuté lorsque Serena visitait le campus en vu de son admission. Le dialogue a été superficiel, mais enfin, on ne peux pas vraiment le reprocher à deux demoiselles qui ne se connaissaient pas deux minutes auparavant.


Famille : Ses parents sont divorcés – c'est devenu une mode dans l'Upper Elle ne s'entend pas particulièrement avec sa mère, régente de sa vie jusqu'à la volonté de savoir qu'elle genre de sous-vêtements elle porte dans la journée xD Sa mère appelle ça de la protection maternelle, Serena qualifie ça de harcèlement maternel TT. Bref, la plupart du temps, elles se crêpent le chignon toutes les deux: Marilyn est le genre de mère à refuser de vieillir -forcément, les injections de botox, ça marche pas mal -, le genre à vouloir rentrer dans les vêtements de sa fille. Ah...je suis sur que vous voyez de quel genre de personnes je veux parler. Quand à son père, elle s'est toujours bien entendu avec lui – sans doute parce qu'elle ne le voit que 3 mois sur 12. Oui, c'est sûrement ça-. Sans cesse overbooké, il n'a pas le temps de s'occuper de la vie de sa fille, si ce n'est pour lui laisser une liasse de billets sur la commode de sa chambre ou par mandats. (Alala..si tous les pères pouvaient voir la vie sous cet angle..-_-). Inutile de dire qu'elle l'adore -à distance-. Sa défunte soeur jumelle est morte d'anorexie. Elle entretient des rapports rapprochés et réguliers avec son frère (16 ans) Dan. C'est – selon ses dires – son "rayon de soleil parmi cette société de m*rde, puante et impure ".

Caractère : Comme la plupart des jeunes femmes de sa classe sociale, Serena n'avait pas attendre de ses parents qu'ils lui inculquent les valeurs essentielles de la vie – comme tout le monde quoi -. Mais quand on est une Woodsen, on est -naît- pas comme tout le monde d'après eux. Rien de mieux de se sentir coincée à l'époque de la Renaissance Française. Bien que, si elle y repensait , on ne l'avait jamais forcée à rester droite comme un bâton toute une journée. Oh mais attendez... Si, si, si. Mes paroles divaguent! Bien sur qu'on lui avait réservé ce genre de traitement. Jusqu'à ses 14 ans, elle ne faisait pas grand chose à part tapisserie dans les brunch. Enfin bon, passons. Pour résumer, ses parents -encore une fois, comme la plupart de leur espèce – laissaient ses enfants boire: tant qu'ils n'avaient pas la gueule de bois pour rencontrer des convives, tant qu'ils ne vomissaient pas sur les chaussures et/ou vêtements des convives, qu'ils ne faisaient pas la une du journal avec une tête épouvantable qui inciterait un titre du genre " Prodige de l'influente famille Woodsen?" avec une petite légende "On a vu S., hier soir tard, elle ne semblait pas tout à fait..clean. Serait-ce la conséquence directe de son petit problème avec l'alcool? Ce qui est sur c'est que la demoiselle ne fera sûrement plu la fierté de ses parents si elle continue sur cette voie...". Oh! Non! Chérie, maintenant les Von Donzten sont au courant. . Ils ne leur empêchaient pas plus l'utilisation de drogues. Avec les mêmes règles. Dans le fond, du moment que leur activités n'entachaient pas la réputation de la famille Woodsen au sein des autres familles influentes, leurs enfants pouvaient bien faire ce qu'ils voulaient de leurs vie.
Alors forcément, pensez vous que S résiste à tout ça? Mais non, elle n'hésite pas un seul instant la demoiselle. Elle a toujours été indépendante – un peu trop-. Tout ce qu'elle aime dans la vie, c'est surprendre. Surtout, ne pas se comporter comme les gens pourraient penser qu'elle se comporte. Elle a un radar -super puissant- pour trouver les soirées qui en valent le coup, et même si ce n'est pas le cas, si Serena et ses amis y mettent les pieds, ça devient tout de suite plus intéressant – ça fait tellement de bien de dire du mal de la jeunesse désabusée de l'Upper East Side-. Malgré tout cela, S ne fait pas les choses pour se faire remarquer. En fait, ça pourrait paraître absurde, mais si S était une jeune fille de classe moyenne, elle serait sûrement la plus banale des filles de son âge. -rah..c'est dur la vérité, n'est-ce pas S? -. Elle suis bêtement ses impulsions, comme la plupart des jeunes. Bien sur, dans son cas, l'argent creuse des différence mais si elle se détachait de Burberry et allait dans un lycée public, elle pourrait devenir votre meilleure amie. Contrairement à ses amies – il faut bien le dire, l'argent, ça fait tourner les têtes – langues de vipères et prêtes à tout pour être la plus belle, la plus convoitée, la plus mystérieuse et intrigante créature de ce noble quartier, S est humble. Bon, évidemment, on ne va pas dire qu'elle ne se fait pas remarquer, qu'on ne l'aime pas, qu'on ne tombe pas sous son charme, mais pour elle, pas besoin d'en rajouter. C'est sûrement cette fraîcheur et naïveté qui fait toute la différence dans cette bande de requins. STOP
Qui a dit que c'était un ange? -moi?- Elle est, certes, adorable notre petite S. Reste que, comme tout le monde, elle a quelques petits défaut -petit..hum...- Et oui..Elle a beau être humble, elle sait étaler sa fortune quand elle estime ça nécessaire. Si bien que, dans Barney's, vous auriez vite fait de la reconnaître. Si je vous assure. Oui, oui, cette demoiselle entourée d'une demie douzaine de conseillère + sa mère – on s'en doutait pas – qui retouchent sa robe d'un peu partout sous ses envies. "Un peu plus courte ici. Quoi? Vous m'avez bien regardez? Vous croyez que je peux décemment me présenter dans cette tenue? Je ne suis pas une nonne bordel !". Oui, non. Elle n'est pas suffisante. Ça ne lui pose aucun problème de se lier d'amitié avec des personnes qui ne vivent pas sur une montagne ambulante d'or. Malgré sa grâce et sa prestance, elle est simple. Elle use peut-être un peu trop de ces charmes pour arriver à ses fins. Oui, sûrement. Et puis, elle est loin d'être la version sage de Barbie. Mais enfin, que voulez vous... De toutes manières, son arrivée sur le campus l'impressionne plus qu'autre chose pour le moment. Pendant deux ou trois jours, elle risque de se faire discrète. Jouer la timide. Oh, ne vous inquiétez pas, S n'a pas disparue. Elle reviendra bien assez vite.

Physique/Style vestimentaire : Quand on est une Woodsen -encore? Oui, je sais, ça revient souvent. La réalité fait mal nom d'un chien – il y a des règles à respecter – tiens, tiens...-. Carrément des institutions pour la pauvre S. Elle qui ne demande jamais rien à personne. Mais enfin, elle ne va pas s'en plaindre. Pourquoi? Et bien voyons, on va exposer deux ou trois règles fondamentales et vous comprendrez mieux.
1) Couleurs flashes tu ne portera pas, sinon comme p*te considérée tu seras.
2) Plus de mille euros en vêtements sur toi tu porteras, sinon de l'appartement tu ne sortira pas
3) Versace tu oubliera. "Très Versace = Très vulgaire" -devise de la maison-. Burberry tu préférera.
...Et ainsi de suite. Imaginez bien qu'une demoiselle de 19 ans aime ces règles. Oui..parfois, c'est étonnant. On croise S dans la rue, dans un couloir, ou encore dans un café -pas n'importe lequel alors-, portant simplement une robe, pas si belle que ça, une paire de botte, deux ou trois bracelets – ceci dit, elle reste toujours aussi belle, mais comment, comment fait-elle? >.< -. Et là vous vous dites: "non, il n'y en a pas pour mille euros là-dedans. Je retrouve quasiment les même trucs au centre commercial..". Mais là vous faites, désolée de le dire, une gourde monumental. - et puis au passage, évitez d'en souffler mot à sa mère -. Si peu vêtue qu'elle soit, S ne choisit pas ses fringues au hasard. Pire, vous ne pouvez pas retrouver exactement la même tenue qu'elle. Aussi frustrant que cela puisse paraître, S ne porte que du grand créateur et pas les modèles fait par dizaines, non, même pas, mais les modèles qui sont bien uniques. -Dur, dur- ceci dit, parfois, elle aimerait porter un simple jean ou un simple velours cotelet, mais non, Marilyn veille au grain. Rien de simple sa fille ne portera, sinon mort d'homme il y aura. Et S a vite fait de faire son choix, autant ne pas pousser M a bout, elle risquerait de le regretter. Enfin, elle risquait.. Et oui, moment de liberté. Finit l'Upper East Side. Bien heureusement, maman Marilyn est très peu branchée technologie, si bien que, à nouvel ordre, même si elle appelle S de temps en temps, elle n'a pas possibilité de voir ce qu'elle porte. Et croyez moi, S n'en n'a jamais autant profité. A elle les couleurs pastel et les jeans Diesel. Elle ne compte pas jouer ça à la princesse et étaler une quelconque supériorité vestimentaire. Non, non. A elle les vêtements que tout le monde porte. Bien sur, elle demeure bien accrochée à Burberry mais, bof, vous la voyez et vous vous dites juste: A tiens, elle est jolie. Pas de grandes conversation sur la dernière paire de Galliano qu'elle a aux pieds. Elle a décidé de passer incognito dans le campus, pour ne pas être juger d'entrée de jeu. C'est une fille normale, au style plutôt Vintage, qui n'a rien contre les Converses -avec modération-, ni les slims. Elle a acquit un style bien à elle, imité mais jamais égalé. Une façon bien à elle de porter les chose.
Il faut cependant clarifier une point. S n'est pas le genre de minette à porte une micro-jupe avec un micro-tee-shirt. Très peu pour elle. Bien qu'elle soit désormais sur la côte, elle reste très distinguée dans son genre. Il se pourrait bien qu'après quelques semaines d'expérimentation, elle en revienne au 3 règles..Jamais sur de rien avec S.

Qualités : Elle est douce. Ah ça oui, comme de la guimauve. Romantique non, mais douce et tendre dans ses attitudes, c'est un fait. Elle est assez sociable pour une fille de son genre. Elle ne fait pas grand cas de cette soit-disant différence sociale. Elle fait bien. Toujours élégante, bien propre sur elle, elle a la facilité de ne pas passer pour une négligé alors qu'elle était malade comme une bête la veille à cause de ses nombreuses beuveries. Oui, une facilité à rester sans arrêt rayonnante -peut-être pas comme un soleil quand même xD-. Elle aime lier de nouvelles amitiés, même si les anciennes sont très importantes pour elle. Elle a comme principe de toujours laisser une chance. Si la personne s'avère décevante, tant pis, au moins, elle ne pourra pas dire qu'elle n'a pas essayer. Toujours dans le même domaine, elle est souvent à l'écoute des autres. - ça dépend de ce que l'on entend pas souvent quand même-

Défauts : Lunatique. Est-ce qu'il existe pire défaut? Pas sur. En général, elle est assez prévisible mais il suffit que sa journée commence mal, vous avez le malheur de lui faire une petite blague douteuse et là...j'aime autant vous prévenir qu'elle fera couler le venin à flot. Elle est capable d'être très méchante dès lors que tout ne s'aligne pas comme elle le souhaite dans sa petite existence. C'est assez frustrant mais c'est comme ça. Puis , d'un coup d'un seul, elle pourra redevenir tout sourire sans que vous compreniez pourquoi -_- Pas facile donc de la suivre. Autre..Elle est parfois un peu trop dans son monde. D'ordinaire extravertie et toujours prête à faire la fête, il y a des moments – peu nombreux cependant – ou elle ressent le besoin de faire le vide. D'écrire quelques lignes, rimes, vers pour redémarrer de plus belle. Ce sont ses petits moment de solitude mais elle en a besoin pour être toujours au top.

Histoire : Une bien banale histoire.
Hivers 1984:

Rupert Woodsen. Jeune étudiant issu d'une famille riche et bien connue de l'Upper East Side. Les appartements luxueux et hors de prix de la 5th Avenue, vous connaissez? Un de ces sanctuaire appartenait à la famille Woodsen. Pas étonnant donc que ce cher Rupert soit inscrit dans une école des plus sélect et classe de New York, s'en était même d'une logique enfantine. Rupert fêtait, cet Hiver, ses 22 ans. Toujours chez papa et maman, mais ne vous inquiétez, une transaction financière était déjà lancée pour que R ait un appartement immense – non, plus petit que papa et maman voyons- bien à lui, non loin de ses géniteurs. Tant mieux. Il n'en avait que faire en fin de compte. Voyez, la destinée de R était déjà toute tracée, bien droite et sans accroches. Il continuerais le droit, il excellerait même – peut on en attendre moins de la part d'un Woodsen -. Il devrait bûcher dur, mais il n'aurait pas à s'en faire. Parce que même si il devait échouer au concours et passer une année supplémentaire, la fortune familiale était là pour assurer ses arrières. Il sortirait avec des gosses de riches, son paternel lui réservait une place dans l'entreprise familiale, quand l'heure serait venu, il remplacerait même son père à la tête de l'empire Woodsen, il se marierait avec une fille de riche et, à leur tour, ils auraient des enfants de riches. Oui, bons plans R. Sauf que tout ne se déroulera pas ainsi. Ah non, ne vous inquiétez pas, il restera riche, traînera avec des gosses de riches, aurait des gosses de riches mais...il ne se marierait pas avec une gosse de riche. Et oui, les destin fait parfois bien- mal- les choses.

Marilyn Wilmer, charmante créature issue de... Brooklyn. Et oui, pas pour elle les luxueux appartements avec vue sur Central Parc. M c'était la jolie demoiselle de 19 ans qui allait chercher les croissants tout les matins à l'aube pour son père alcoolique qui ouvrait les yeux seulement aux environs de 22 heures . M c'était le refuge de tout les gamins pommé qui cherchaient un peu de réconfort mais surtout, M c'était, une grande rêveuse. Que rêveuse? Oh non, M c'était la mangeuse d'homme, la croqueuse de diamants, la langue de vipère, la peste la plus splendide que NY ait porté. Dans ses rêves, M s'imaginait être kidnappée par un prince ou un tsar, quelque chose dans ce goût là, quelqu'un en tout cas qui pourrait lui offrir un bon cabriolet, liquider son paire, lui offrir une nouvelle paire de Gucci toutes les semaines et pourrait également la dispenser de faire le ménage en engageant une bonne à tout faire. Ambitieuse la petite.. Et encore, vous n'avez rien vu. Partout où une soirée de riches se préparait, elle se débrouillait pour que sa tante, couturière, lui fasse une robe assez jolie, un décolleté plongeant, un battement de cils, un petit " je me penche en avant " et hop! C'était dans la poche. Les plans de M furent eux aussi contrariés. Elle ne vivrait jamais avec un prince, un roi, un dictateur ou même un tsar. Elle finirait avec...Mais, n'était-ce pas le fameux rejeton des célèbres Woodsen qui la fixait là-bas?

Suite

Quelques mois plus tard, tout était dans la boite. Enfin, façon de dire. Rien ne va plus dans les familles de riches. M.Woodsen a entendu dire par M. Von Donzten qui a entendu dire par Mlle. Warholds qui a croisé Mme. Alexander chez Barney, qui à vu des ses propres yeux, R Woodsen dans le parc, se roulant d'un main un joint, de l'autre tenant la main de M Wilmer. La fille même de cette Mme. Wilmer qui s'occupait des retouches des robes de Molly, sa fille unique – la pauvre faisait un petit 34 mais en complément, avait hérité d'une poitrine bien plus que généreuse. Comment concilier un 34 et un 90 C sans retouches? -, lorsqu'elles venaient de Dior. Voyons ça...Enfin, bon, après pas mal de commérages, il était revenu aux oreilles de M. Woodsen que son fils fumait, bon ça, il s'en foutait royalement, mais qu'il osait traînailler avec une simple fille de couturière qui lui faisait sûrement un bon coup de charme pour qu'il perde la tête et la fasse monter au sommet de l'empire familial. Voilà qui était bien plus grave si vous voulez son avis. Il savait y faire avec ce genre de comportement le père, et très vite, M Wilmer eut l'occasion unique d'arrêter sa relation en échange de quelques billets – houwOu, j'en ai le vertige, arrêtez les zéros s'il vous plaît-. Voilà une bonne idée... Mais après mure réflexion, et après s'être assurée que R étais toujours aussi amoureux, elle estima la fortune familiale un peu plus important que ce beau chèque. Certainement multiplié par quoi..20. La belle affaire, on lâche pas les beaux poissons comme ça.

Salon des Woodsen Seniors , résidence de la 5th Avenue.

Pas un son ne résonnait dans le vaste appartement. R et M étaient assis dans le canapé qui faisait face au second canapé où étaient installés M. Et Mme Woodsen, bras croisés sur la poitrine. R arborait un air boudeur, visiblement triste que ses parents ne veuillent pas partager avec lui le bonheur de cet évènement. Pourquoi, après tout, ils n'acceptaient pas Marilyn? M quand à elle, arborait un sourire . Un joli sourire. R l'aurait qualifiait d'heureux, tout simplement mais, les Woodsen, vous, moi et elle, savions bien que ce n'était pas exactement ça. Non, si M souriait c'était bien parce que les vieux se retrouvaient dos au mur maintenant et qu'elle n'allait pas tarder à accéder au pouvoir. Un mélange de son regard sournois et son sourire malsain et le père savait déjà que quelque chose de regrettable avait eu lieux. Il toussota poliment.

- Bien, est-ce que cela vous embêterez d'en venir au faits maintenant mes enfants?

Ses sourcils broussailleux semblaient battre la mesure de son rythme cardiaque. Rien de bon. La gorge nouée, Mme Woodsen agrippa le bras de son mari en lui jetant un regard inquiet. Le sourire de M s'étira davantage encore. Elle se tourna vers R.

-Oh, voyons chéri, veux tu que je te laisse annoncer la merveilleuse nouvelle à tes parents?

Petits sous entendus vicieux d'après les dits parents. R eut un signe négatif de la tête, mais un petit sourire pris place sur ses fines lèvres.

-Nous allons le faire tout les deux ma chérie.

Son ton était patient et doux. Rien à voir avec la demoiselle qui riait silencieusement maintenant. Elle posa sa main gauche sur son genoux, le lui caressant doucement, hochant la tête à sa réponse. Il avait raison. Bien, si il continuait comme ça, ses parents allaient choper la jaunisse. Bah..au moins, elle aurait la paix après ça. Qu'est-ce qu'ils pouvaient être chiants ces deux là. Elle tourna à nouveau la tête vers les parents, fixant successivement la mère et le père. Elle tapota du doigt la main de son chéri et tout deux, à l'unisson, annoncèrent:

-Nous allons avoir un bébé!

Étranglement du père qui vira successivement au blanc, puis au vert, au bleu et pour terminer au rouge. La mère fondit en larmes et s'accrochant à son mari, qui lui adressa un regard noir. Il demanda à son fils de bien vouloir lui répéter ça et R répéta. M se fit un plaisir de renchérir.

- Enfin pas exactement, j'attends des jumelles.

[...]

Neuf mois plus tard, la mère était morte d'un infarctus, mais surtout, Serena et Eliza voyait le jour. Déjà Eliza avait une touffe brune sur la tête tandis que Serena n'avait que quelques poils blonds épars. Toutes deux avaient des grands yeux bleus. S avait des yeux couleur bleu nuit et E avait les yeux les plus clairs et limpides. Magnifiques toutes deux. Ce jour là, R pleura sa mère mais, il pleura surtout de joie en voyant qu'il avait été capable de faire deux êtres aussi merveilleux. M ne pleura pas une seule goutte, mais elle rit. Oh oui, elle rit. Aujourd'hui, c'était son jour de victoire, elle avait gagné la guerre, gagné ses droits sur l'empire Woodsen. Et oui, saint comme il l'était, R n'aurait supporté bébés en dehors d'un mariage en bon et du forme.

Voilà pour la petite histoire de M. Ceci dit, tout ne finit pas si mal. M s'avéra être une business woman hors du commun, extraordinaire. Et se chargeait des relations internationales de l'entreprise. Et puis, maintenant qu'elle avait trois gosses – ah oui, Dan est né entre temps- elle se voyait mal partir. Elle avait une bonne place, pouvait se faire son argent en plus de l'argent qu'elle toucherait en cas de divorce ou d'adultère. Son père n'avait pas été liquidé mais peu importe, elle n'en a jamais plus eu de nouvelle depuis ce jour là.

E et S grandirent main dans la main. Inséparables, on ne pouvait voir S sans E et réciproquement. Deux soeur, une seule vision des choses, une seule école, les même goûts, les même amis et les mêmes passions. Toutes deux allaient à Constance et quelques années plus tard, Dan rejoint à son tour St Jules. Adorables, tous autant qu'ils étaient. Déjà jeune Dan brisait bien des coeurs, quand à E et S, elles se faisaient passer l'une pour l'autre et trouvaient très amusant de s'échanger les petits amis. Leurs petites bandes d'enfants riches se constituait de Olivia -meilleure amie de S-, Ann -meilleure amie de E-, Eric -petit ami de E-, Alexander -grand frère de Olivia- et Dean -secrètement amoureux de S et dont E était amoureuse -. Peu donc, me direz vous. Mais quand on est riche, on ne peut pas faire confiance à tout le monde. Eux, ils se comprenaient, se donnaient des coups de couteaux dans le dos. A l'époque déjà, E vivait sa soit-disant idylle avec Eric. Mais S n'était pas dupe, elle charriait sa soeur dès qu'elles se retrouvaient seules toutes les deux. S ne sut jamais que E était amoureuse de D. S papillonnait, c'était son charme. Elle allait de garçons en garçons, insouciante. A l'âge de 17 ans, elle commença à fricoter avec Dean, ne sachant pas que E en était éperdument amoureuse. Pauvre E...Elle culpabilisa, se dit qu'elle ne devait pas être assez bien pour D et, en moins de temps qu'il n'en faut pour s'en rendre compte, elle dégringolait dans l'anorexie. Sa soeur s'en inquiéta bien souvent et, malgré de nombreuses hospitalisation, E décéda le jour de leur 18 ans. Choque dur, très dur pour les parents mais insurmontable pour S. C'est à ce moment qu'elle se rapprocha particulièrement de son frère. Elle se demandait si ce n'était pas de sa faute, à toujours vouloir la traîner dans les soirées branchées même quand elle refusait, quand elles buvaient, quand elles s'amusaient avec la drogue.

Culpabilité. Et encore S, croit moi, tu ne sais pas encore à quelque point tu es coupable de sa mort...

La vie continue, pénible mais il faut avancer. Ne prenant conscience de son avenir que maintenant. Pourquoi se préoccuper de prendre des activités extra-scolaire? Oui madame, moi je fais la fête tous les soirs. Pas très classe pour une admission à la fac. Viser Harvard ou Yale maintenant c'était bidon. Et puis, elle avait besoin d'air, trop oppressée avec tous ces gens qui devaient être ses amis. Elle se sentait suffoquer chaque jours. Voilà comment demoiselle Woodsen atterrit à Long Island.

Amours : On va commencer par les anciens tant qu'à faire. Alors, il y a eu: Josh, Dean, le frère de Dean, Alexander, Matthias, le cousin de Matthias, Chuck, James Junior, Simon, Matthiew, Daniel , Jason, Shawn...
-Commentaires?- Oui, donc, il ne fait aucun doutes que S n'est pas très stable niveau sentiment. Et elle ne s'en cache pas. Elle n'aime pas les histoires sérieuses, elle n'en comprend pas l'utilité -n'a pas envie de comprendre non plus - . Elle aime la vie, elle aime s'amuser, elle aime les garçons. Mais tout ça dans le respect. Elle ne connaît aucun de ses ex qui ne soit pas en bons termes avec elle. Elle est adorable et à une façon de voir les choses, une façon de convaincre les gens de croire en ce qu'elle croit..Enfin, vous voyez le truc. Un peu manipulatrice dites vous?...

Amis/ennemis : Elle arrive alors..autant ne pas se faire d'ennemis tout de suite =D

Autres :

Clé de validation : Beckles-SN<3VM [ haan le mix Bell-Ackles ]


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Comment avez-vous connus le forum : En passant le mode ennui : ON. Donc, je pianote, farfouille dans le tops -où rien ne me plaît- u.U Je cherche, je lis les descriptions, niveau de RP's. 24 Forums visités plus tard, je tombe sur Long Island UC et là..soulagement! =p Enfin quelque chose qui en vaut la peine.

Votre présence sur celui-ci : Normalement, à peu près tout les deux jours. Mais il se peux que je reste quelques jours à bloquer sur un sujet quand les cours auront repris, j'avoue je me laisse facilement déborder. Ooops

Étais-tu présent dans la saison 1 ? Ah non...C'est grave doc'? TT

(Dès que je poste, je file remplir mon profil et ma feuille de personnage.)

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Pour l'instant, c'est pour mes doigts que je me fais du soucis
Merci bicoup m'sieur :angel:

:jtenaime: Tout ça pour moi? :yoo:
C'est le forum qui m'inspire. Alala, tout ces compliments, tu veux vraiment me faire rougir hein? :funny:

Un peu fan? Et moi donc, Veronica et Dean ce sont mes dieux

Et puis, question amusement, je suis certaine que je vais bien m'amuser :mouaaa:

Merci, merci, merci mamz'elle :amour:

M'en fout, j'ai trois claviers de rechange :moiii: Et puis moi, je m'en fout pas de mes doigts, monsieur XoX

Ah la p'tiote que de bons souvenirs... { tu sais Jeffrey, je te l'avoue, tu me rappelle énormément...ma mère :padebol: }

Mici beaucoup Dylan rah mais elle est pas si longue - j'ai vu pire :funny: -
J'ai comme l'impression que vous êtes tous...A DO RA BLES ici :amoureu: :amoureu: :amoureu:

Tu es son portrait craché mon p'tit . Me dis rien, je sais: c'est dur la vie hein? :bete:

What? *évite de s'étouffer devant son écran*
Hey! ça va les chevilles vous deux?
et piis...j'aime bien les blondes moi :mdrrrr:

ThanX Mattéo
[RRRrrr...Dougie ]

Jeffrey..les caresses de chiens ça donne des puces :mdrrrr:
Bof allez, moi aussi j'taime petit prétentieu xD
Et piis, y en un un troisième en plus?

Les blondes, c'est comme les brunes. On pas pas leur en vouloir d'être moins intelligentes :funny: +BAFF+

M> J'AI ME Dougie

:bienvenu: wa sacré présentation!!!!

je suis sur que tu vas t'amuser parmi nous!!!!!!!

tu verras ici c'est super cool!!!!!!

:yoo: :yoo: :yoo: :yoo:

Mouais...Vive toi ... :shocked:

:zinzinou:

Ouais, ouais mais ouais, t'as tout vu juste Jeje, t'es trop fort décidément :cartone:
Tu me laisse le temps d'y réfléchir hein u___________U

Dylan, tu crois qu'il faut lui dire qu'il a l'air d'un désespéré comme ça? :hum?:

:moiii:
Merci x10 Ellie
Ça fait plaisir des accueil comme ça <3

c'est normal on est comme ça ici!!!!!!